En lisant les commentaires suite au décès de mon vieux chat,
j'en ai trouvé un d'une amie qui disait que c'était un chat extraordinaire (comme quoi je ne suis pas la seule à le dire mais merci Alex)
Il avait un petit plus tout à fait spécial.
Pourtant j'ai eu beaucoup de chats.
Il ne supportait pas de laisser un être vivant en détresse sans intervenir. (oui il défendait aussi son chien, ses chats...)
En fait j'en ai eu 4 du même style, la mère de nimbus, sa sœur Hanarchie et mon ami Toufou, le neveux de mon gros minou.
Toufou n'était pas mon chat pourtant mais chose qui m'a toujours étonné quelque soit le moment, il étais toujours là juste avant que mon moral ne lâche.
Il arrivait en courant vers moi se posait le temps qu'il fallait sur moi et repartait quand je n'avais plus besoin de lui.
Bon Nimbus était le dernier espérons que ses nièce ont pris le gène.
Nimbus fut l'un des plus...
je sais pas comment dire.
Cette la photo avec son chien, une de mes dernières, le représente bien.
C'est la seule fois où je l'ai vu s'allonger comme ça, contre son chien en 12 ans.
Pourtant ce jour là il était dans un état bien pire que le chien : sous antibiotique, il s'est levé pour se mettre contre son chien jusqu'à ce que le gros récupère son souffle (6h)
Enfin voilà quoi, un sacré loulou à qui on pardonnait son pipi partout :)
Ma copine s'en souvient bien parce qu'à chaque fois qu'elle a eu un malaise chez moi, mon chat s'en est occupé. Il parait même que quand j'y étais pas il empêchait quiconque de l’embêter en mordant les importuns (rohhh la honte! bon ok ils avaient qu'à écouter minou!).
Nimbus faisait des choses spéciales :
Il m'endormait quand j'avais des insomnies.
Il calmait toute personne invitée en état de stress et d'épilepsie...
savait maitriser et calmer une crise de tétanie les miennes où... celles de toute personne invité ou du... chien.
J'ai même appris grâce à lui à contrôler des gens bien plus grand que moi juste en l’observant sa méthode : du haut de ses 3 kg 5 et encore... il parvenait à maitriser un humain en crise.
Quand il était en position pour calmer, il m'étais quasi impossible de me lever tant qu'il ne bougeait pas.
La technique était simple il se plaçait toujours sur le haut de la cage thoracique.
Deuxième question : comment il faisait pour calmer en moins de 30 secondes?
Il procédait toujours de la même manière. Il appuyait de tout son poids sous le sternum un peu comme en secourisme remontait en appuyant entre les cotes et s’asseyait sur le haut des cotes en ronronnant ou plutôt vibrant d'une manière impressionnante.
Bon l'autre souvenir que j'ai de ses massages félins c'est que ça fait un mal de chien ;) mais c'est d'une efficacité redoutable!
Voilà un gros chat pas si gros que ça mais qui manque et manquera toujours.
aller le prochain article sera sur la dernière née de la famille qui rejoindra sa famille d’accueil d'ici une ou 2 semaines
